Dans sa version initiale, le détecteur Super-Kamiokande est rempli de 50 000 tonnes d’eau pure. Cette fois, pour doper sa sensibilité, les scientifiques ont ajouté 0.02% de gadolinium à l’eau. © 2020 Kamioka Observatory, ICRR (Institute for Cosmic Ray Research), The University of Tokyo.

La collaboration Super-K donne le top départ de la quête du fond diffus de neutrinos reliques de supernovas

Résultat scientifique Physique des particules et matière

En août 2020, la collaboration japonaise aux deux prix Nobel a ajouté dans l’eau de son immense cuve un nouvel ingrédient : le gadolinium. Ainsi « dopé », l’instrument s’ouvre à une quête inédite, celle du fond diffus de neutrinos (DSNB : Diffuse Supernova Neutrino Background) produit par l’ensemble des explosions de supernovas depuis les premiers instants de l’univers, et dans lequel nous baignons en permanence.

L’équipe neutrinos du Laboratoire Leprince Ringuet - LLR (CNRS / Ecole Polytechnique) est à la manœuvre depuis le début du projet.

 

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